Le quatrième pilier
Il nous porte dans les énergies les plus fortes, étant placé sur le réseau sacré. Nous retrouvons encore une fois nos chakras, de chaque côté cette fois, un côté féminin et un masculin ? Au centre, 12 fleurs reliées aussi par les énergies. Cycle cosmique ?
Sur le chapiteau, un amphisbène (du grec amphis, des deux côtés, et bainein, marcher). Dans la mythologie grecque et latine, l'amphisbène est une bête avec deux têtes, dont une au bout de la queue, si bien qu'elle pouvait avancer aussi bien en avant qu'en arrière. Quand une tête dormait, l'autre restait éveillée pour faire le guet. « Parce qu’il avance de ses deux têtes, l’animal traine son corps par un déplacement circulaire », déclare Isidore à la suite des naturalistes antiques. Indication d’un itinéraire approprié ?
Notre serpent, donc énergie ou vouivre, qui marche des deux côtés à la fois, est relié au cosmique et au tellurique. Nous sommes en présence du pilier de l'homme arrivé au terme de sa quête, maitrisant complètement les énergies sans danger.
Un trou de forme à peu près carrée se trouve sur le côté gauche du pilier. Il me fait penser à un bénitier posé là. Il faudrait essayer de le remplir d'eau au solstice d'hiver, et prendre des mesures ensuite. Je suis sûre que l'on aurait des surprises...