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lieux sacrés
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14 juillet 2010

L'église Saint-Cyr et Sainte-Juliette de Clamerey

Clamerey_11L'église aurait été fondée au VIIIème siècle, comme le laisse supposer la découverte de plusieurs tombes mérovingiennes sur le site.

















Clamerey_1De cette période il ne subsiste sans doute aucun vestige visibles que des pierres de fondations au pied du croisillon sud.












Clamerey_12L'église actuelle remonte au XIIème siècle. Bâtie sur un plan cruciforme, elle comporte un chœur à chevet plat et deux croisillons, ces trois éléments étant voûtés en berceau.











Clamerey_9A leur intersection, la croisée, qui, elle, est voûtée d'arête, supporte un clocher couvert à deux pentes percé de quatre ouvertures géminées à colonnette.
















Clamerey_4La nef était primitivement flanquée de deux bas-côtés étroits donnant par un passage en arc brisé sur les croisillons.
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Clamerey_21Au XVème siècle, la séparation en maçonnerie délimitant, à l'intérieur, ces trois éléments, fut supprimée, sans doute pour créer un espace plus dégagé, celui-ci étant alors recouvert par une charpente à chevrons soutenant une voûte en lambris.










Clamerey_2Il y a de fortes chances pour que l'édifice du XIIème siècle ait été couvert dès l'origine en lave, employée de façon courante en Bourgogne. Les charpentiers du XVème, qui modifièrent la toiture, adoptèrent également ce matériau.










Clamerey_14Une nouvelle intervention eut lieu au XIXème siècle, qui consistât à restaurer la couverture de l'ensemble, ainsi que le porche d'entrée ouest, et à réaliser une sacristie côté nord et un escalier hélicoïdal au sud, pour l'accès au clocher.
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Clamerey_0a100 ans plus tard, le conseil municipal dut restaurer à nouveau la couverture de l'édifice, dont une partie avait glissé sur la nef. (Benoit Delarozière, 1991)










Clamerey_5L'église possède un patrimoine mobilier remarquable, dont la dalle funéraire de louis de Quinart de Thelis, mort en 1381 et de Jaquette de Crux sa femme, et celle d'Aime Julien, écuyer, seigneur de Verchisy, Montmançon, Clamerey et Chevannay mort en 1569.
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Clamerey_7Plusieurs statues en calcaire peint en polychromie datent du XVIème siècle :

Une Vierge de Pitié















Clamerey_25Un saint  évêque

Clamerey_16Sainte Barbe
















Clamerey_24Sainte Marguerite

Sainte CatherineClamerey_23
















Clamerey_15Et d'autres...
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Clamerey_20Une piscine double, chose rare.













A l'extérieur se trouve une Clamerey_26croix de cimetière du XVIIème siècle,
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Clamerey_3ainsi que plusieurs sarcophages en calcaire datées du VIIIème et IXème siècles.












Clamerey_28Plus loin sur la route, une croix de chemin.

http://www.petit-patrimoine.com/fiche-petit-patrimoine.php?id_pp=21177_2

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14 juillet 2010

l'église Saint-Martin de La Motte-Ternant

La_Motte_Ternant_2Le bourg fut construit autour de deux buttes. L'une des buttes était surmontée d'un château au Moyen Age dont on peut encore voir quelques vestiges. Sur la seconde butte fut bâtie une église.

















La_Motte_Ternant_5L'église de La Motte-Ternant est placée sous le vocable de Saint Martin et passe pour être l'une des plus anciennes de Côte d'Or.
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La_Motte_Ternant_6Elle possèderait une partie carolingienne incluse dans son abside qui  servit de base à la construction de l'édifice préroman aux XIème et XIIème siècles.

La_Motte_Ternant_4









La_Motte_Ternant_7Elle fut remaniée au XIVème siècle, cependant de sa construction vraisemblablement au XIème siècle (certains la situe entre le IXème et le XIIème siècle) elle a conservé en style roman la nef, le transept, le clocher batière et les deux absidioles formant ainsi trois chapelles absidiales en cul-de-four.

http://paroisse-saulieu.fr/LaMotte.html
http://www.petit-patrimoine.com/fiche-petit-patrimoine.php?id_pp=21445_1

14 juillet 2010

L'église Saints-Celse-et-Nazaire de Bessey

Bessey_la_Cour_2aConsacrée aux saints Celse et Nazaire, l'église fut bâtie au centre du village à la fin du XIIème siècle, sur un ancien tertre.


















Bessey_la_Cour6Elle est surmontée d'une tour de clocher à baies jumelées et colonnettes à chapiteau .
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Bessey_la_Cour4Le tympan de la porte  d'entrée est orné d'une croix tréflée.
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Bessey_la_Cour10L'abside est éclairée par trois baies en plein-cintre disposées triangulairement.

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Bessey_la_Cour3La voûte de la nef et du chœur est  de type berceau brisé clunisien reposant sur des arcs doubleaux qui prennent appui sur des piliers massifs. Ces arcs subdivisent la nef en trois travées.










Bessey_la_Cour9Au-dessus d'une fenêtre est gravé un calvaire posé sur trois marches (encore le nombre 3), entouré du soleil et de la lune.

14 juillet 2010

L'église Saint-Pierre-et-Saint-Paul de Vic-des-Prés

Vic_des_Pr_s_2L'église Saint-Pierre-et-Saint-Paul date des XIIème et XIIIème siècles. Les travaux de restauration ont commencé en 1993 et viennent tout juste de se terminer.
















Vic_des_Pr_s_3La restauration extérieure a demandé 7 ans avec la reconstruction des toits en lave sur la partie ancienne.
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Vic_des_Pr_s_7La couverture en laves est directement posée sur les voûtes.

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Vic_des_Pr_s_5Le transept, le chœur et le clocher sont  classés monuments historiques depuis 1910. 












Vic_des_Pr_s_1Merci pour la grille qui permet de regarder l'intérieur. C'est une bonne chose, et cela permet de garder une certaine sécurité. Nous vivons dans un siècle où le vandalisme n'a rien à envier aux actes de nos anciens barbares...

13 juillet 2010

Église Saint-Germain-d'Auxerre de Bligny-sur-Ouche

Bligny_sur_Ouche_2Bligny (étymologiquement provenant de Bel, Ou de bhla-n, racine hydronymique indo-européenne) fut la première bourgade construite près de la source de l’Ouche.
Les premières traces écrites de Bligny-sur-Ouche remontent à 879. A cette époque, le village s'appelait Beligny-sur-Oische.









Bligny_sur_Ouche_5Bligny fut donnée au VIIIème siècle à l’évêché d’Autun. Au cours du Moyen Age,  les ducs de Bourgogne tentèrent de s’approprier cette terre, sans succès. La  "Poûté de Beligny" était gouvernée alors par des doyens ou des majordomes. Cette fonction devint héréditaire et la famille dépositaire de cette fonction prit le nom de Le Maire ou Maire. Ainsi, en 1257, la Mairie de Bligny est recensée comme "fief roturier et héréditaire". La gestion effective de la Poûté était cependant sous la tutelle d’un bailli.
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Bligny_sur_Ouche_6Datant de la fin du XIème, début XIIIème et XIVème siècles, l'église Saint-Germain-d'Auxerre serait bâtie sur une substruction remontant à l'époque Mérovingienne. Elle fut construite dans  l'enceinte du château, détruit en 1478 sur ordre de Louis XI le gros.
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Bligny_sur_Ouche_plan_2Autrefois orientée au levant, elle était constituée de 3 nefs de 3 travées, jusqu'au transept qui portait, en son centre, sur des arcs très bas, la tour carrée du clocher.
Au sud, le mur épais de 1 m 89 formait la clôture du château.









 

 

 

 

 

 

 

Bligny_sur_Ouche_4Le clocher pyramidal à baies géminées fut reconstruit au XVème siècle. La base est décorée de bandes lombardes. Le beffroi est percé sur chaque face de quatre baies en plein cintre reposant sur des colonnettes. La flèche pyramidale octogonale en tuf a une hauteur de 41 mètres.
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Bligny_sur_Ouche_12Au XVIème siècle, les voûtes furent refaites.
Au XVIIIème, les ouvertures furent agrandies.











Bligny_sur_Ouche_11Au delà, à l'orient, le chevet rectangulaire est flanqué de chapelles. Les piliers cruciformes sans base sont à chapiteaux rectangulaires.











Bligny_sur_Ouche_16Les bas-côtés sont éclairés par des lancettes.












Bligny_sur_Ouche_19Au dessus de la sacristie se trouve le tableau "la Cène" datant du XVIIème siècle.










Bligny_sur_Ouche_20Dans l'ancienne chapelle Saint-Claude se trouve une dalle funéraire à effigie gravée de la famille Lemaire, du XIVème siècle, ainsi que la statue de saint Germain d'Auxerre, statue en pierre du XVème siècle, mutilée à la révolution.
Un bas relief dans le mur est ce qui reste d'un ancien retable, où l'on voit le baptême du Christ et saint Joseph.








Bligny_sur_Ouche_18Les culots du XIIIème siècle sont sculptés de figures humaines, alors qu'un imposte présente d'étranges têtes porcines.
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Bligny_sur_Ouche_17L'un des culots montre un homme avec un serpent enroulé autour du cou, possédant deux têtes.












Bligny_sur_Ouche_14Dans la chapelle Saint-Sébastien se trouve la bannière de la confrérie, et un chef d'œuvre en bois sculpté, porté le jour de la saint Sébastien.
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Bligny_sur_Ouche_0

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13 juillet 2010

L'église Saint-Symphorien de Nuits-Saint-Georges

Nuits_Saint_Georges_1le site de Nuits-Saint-Georges fut occupé depuis les temps préhistoriques :  les grottes des Trous-Légers en font foi. L'époque gauloise donne à Nuits son patronyme.











Nuits_Saint_Georges_11À l'époque gallo-romaine, une première cité se construit, au sud, en un lieu-dit appelé plus tard  "Les Bolards". Au XIVème siècle, la construction de remparts crée le cœur actuel de la ville, réunissant Nuits-Amont (quartier des commerçants et de l'église Saint-Symphorien) et Nuits-Aval (cité commerçante qui sera fortifiée, halles, grenier à sel, bailliage, beffroi).








Nuits_Saint_Georges_5L'église romane Saint-Symphorien fut construite au XIIIème siècle dans le quartier des vignerons.
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Nuits_Saint_Georges_7Édifiée sur un plan de croix latine régulière, son architecture présente l'austérité des écoles byzantine et romaine.
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Nuits_Saint_Georges_9Son entrée est abritée d'un porche datant de 1624.
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Nuits_Saint_Georges_3A la croisée du transept, un clocher carré et trapu percé de deux étages de baies en plein cintre abrite un carillon manuel de 37 cloches.
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Nuits_Saint_Georges_2Classé Monument historique, l’église Saint-Symphorien a été restaurée (les travaux ont fini en 2007).

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Nuits_Saint_Georges_12http://www.ot-nuits-st-georges.fr/fr/nuits_ville_eglise_st_symphorien.htm
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13 juillet 2010

Beaune, l'Hôtel-Dieu

Beaune_H_tel_Dieu_3Même si l'endroit n'est pas sacré, il reste le plus célèbre de Beaune : ses toitures polychromes ont véhiculé l'image de la Bourgogne. Il fut fondé par Nicolas Rolin, chancelier du duc de Bourgogne Philippe Le Bon, et sa femme Guigone de Salins.










Beaune_H_tel_Dieu_5" Moi, Nicolas Rolin, chevalier, citoyen d'Autun, seigneur d'Authume et chancelier de Bourgogne, en ce jour de dimanche, le 4 du mois d'août, en l'an de Seigneur 1443 ...dans l'intérêt de mon salut, désireux d'échanger contre des biens célestes, les biens temporels …je fonde, et dote irrévocablement en la ville de Beaune, un hôpital pour les pauvres malades, avec une chapelle, en l'honneur de Dieu et de sa glorieuse mère... "













Beaune_H_tel_Dieu_1En 1441, Eugène IV place l'œuvre sociale sous tutelle épiscopale évitant ainsi une main mise de l'évêché et l'Hôtel-Dieu est fondé officiellement en 1443. Il accueillera son premier patient le 1er janvier 1452.







Beaune_H_tel_Dieu_7Ce sont les sœurs hospitalières qui produisent les soins aux malades et elles sont également chargées de distribuer du pain aux indigents venant à la porte. L'hôpital est resté en fonction jusqu'en 1971. Grâce aux dons, les Hospices devinrent propriétaire au fil du temps de plus de 60 hectares de terres vinicoles dont ils tirèrent leurs revenus.














Beaune_H_tel_Dieu_6De nos jours encore, les bénéfices servent à financer les installations hospitalières.

12 juillet 2010

Église Saint-Phal de Bretenière

Breteniere_1Le territoire de Bretenière fut occupé depuis fort longtemps : on y retrouve des vestiges préhistoriques tels des silex chalcolithiques. Plus tard, les gaulois l'habitèrent. C'était une zone sans frontière  à la jonction de trois états celtes : l'Éduie, territoire des Éduens, de la Saône au Morvan (Bibracte), la Lingonie, pays des Lingons, au nord de l'Ouche, et la Séquanie, domaine des Séquanes, à l'est de la Saône.








Breteniere_3Un peu plus tard encore, une voie romaine, d'axe nord-sud, passe à proximité. Des villas gallo-romaines du IIIème siècle furent retrouvées,  dont la villa de "Saint-Phal", proche du village de Bretenière.
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Breteniere_2L'église paroissiale Saint-Phal de Bretenière fut construite en style roman au XIème siècle. Il en reste l'abside  en cul de four à arcatures lombardes, et les coupole sur trompes. Elle fut remaniée aux XIIème et XIIIème siècles : la nef plafonnée et le transept datent de cette époque.

La chapelle et la sacristie datent du XIXe siècle.













Breteniere_4Fal, Fidolus, ou Phal, abbé de l'abbaye Montier-la-Celle au VIème siècle, était fils d’un patricien originaire de l’Auvergne. Né à Clermont, il fut fait prisonnier lors des guerres de Théodoric, prince franc, et fut vendu comme esclave en Champagne. Il fut racheté par saint Aventin qui le fit entrer dans son monastère près de Troyes. L’esclave en devint un jour le Père Abbé.

http://www.petit-patrimoine.com/fiche-petit-patrimoine.php?id_pp=21106_1

12 juillet 2010

L'église de la Sainte-Trinité

Chevigny_Saint_Sauveur_1Chevigny est mentionné en tant que village (Chevigniacum) pour la première fois dans un texte de l’an 878.
L’origine gallo-romaine ne fait guère de doute : une villa fut retrouvée lors de travaux. Chevigny servait au commerce, étape sur une route importante qui pourrait expliquer le développement du village.








Chevigny_Saint_Sauveur_9Au XIIème siècle, en 1178, sa chapelle devint l’église de la Trinité , dédiée au Saint-Sauveur. C’est en cette église que Philippe le Hardi, le 25 novembre 1376, tint sur les fonts baptismaux le fils de Jean de Vienne, amiral de France et ami de ce premier duc Valois de Bourgogne.









Chevigny_Saint_Sauveur_3En 1513, les Suisses investirent la région de Dijon, saccagèrent le village et brûlèrent l’église. Les archives précisent qu’en 1515, une bulle du pape Léon X accorda des indulgences aux fidèles qui contribueraient à la restauration de leur église.










Chevigny_Saint_Sauveur_5L’édifice fut donc refait avec soin par les chanoines réguliers de l’Abbaye de Saint-Étienne de Dijon qui ont desservi la paroisse jusqu’à la révolution.











Chevigny_Saint_Sauveur_2L'église a conservé de l'époque romane son abside en cul-de-four et son portail. La base du clocher est aussi du XIIème siècle, peut être même XIème. Le transept, la nef et le clocher carré sont du XVIème siècle, les chapelles sont des XVème et XVIIème siècles.















Chevigny_Saint_Sauveur_4L’église, désaxée comme beaucoup d'édifices suivant les différentes failles et autre cours d'eau souterrains, est orientée avec le chœur tourné vers l’est.











Chevigny_Saint_Sauveur_7Sur le pignon portant la croix et restauré en 1976 (suppression d’une fenêtre rectangulaire et ouverture d’une fenêtre romane) s’ouvre la porte, avec un arc roman en plein cintre des XIème ou XIIème siècle.










Chevigny_Saint_Sauveur_6L’ancien porche fermé fut remplacé par un abri auvent en bois réalisé en 1976.
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Chevigny_Saint_Sauveur_10La chapelle nord, de style gothique flamboyant, fut construite en 1494 grâce à la générosité de Madeleine de Beaumont, dame de Chevigny, sous le vocable de la Vierge.

http://chevigny.histoire.over-blog.fr/
http://www.petit-patrimoine.com/fiche-petit-patrimoine.php?id_pp=21171_5
http://www3.lejsl.com/dossiers/cybercom/vueduciel/Chevigny.pdf

9 juillet 2010

Lantenay

LantenaySur la commune de Lantenay, dominant le bourg, se trouve, dans une propriété privée, la chapelle  Notre-Dame la noire. Datant du XIIème siècle, elle fut construite par Agnès de France, fille de saint Louis, à côté d'une source sacrée.















Dijon_Mus_e_art_sacr__ND_Lantenay_6Il y a encore quelques années, trônait en son sein une vierge noire de toute beauté, d'une hauteur de 70 cm, de style "byzantin".
Elle était le but d'un pèlerinage très fréquenté, et répondait à sa sœur, Notre-Dame d'Étang, de l'autre côté de la vallée. La légende dit qu'elle fut donnée par un croisé, donc d'origine orientale.
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Dijon_Mus_e_art_sacr__ND_Lantenay_9Cette vierge se trouve aujourd'hui à Dijon, au musée des Arts Sacrés. Oubliée, mais en bonne compagnie, puisqu'une autre de ses soeurs, Notre-Dame de Vievy, se trouve à ses côtés.
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Lantenay_2L'église communale de Lantenay date elle aussi du XIIème siècle. Elle possède un  clocher roman avec les corbeaux en corniche.
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Lantenay_10Le seuil de l'entrée sud est peut-être une ancienne pierre tombale sur laquelle est gravée une épée.












Lantenay_3La nef, rectangulaire, fut restaurée au XVIème siècle, mais a gardé deux petites baies romanes.
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Lantenay_9Au-dessus de la porte principale, du XIVème, se trouve une statue de sainte Marguerite datant du XVème siècle.

















Lantenay_5La sacristie, ancienne entrée de l'église, renferme une statue rare de la trinité, que l'on retrouve dans le village posé sur une niche de façade, et le baptistère du XVème.
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Lantenay_7Toute l'église, avec ses statues remarquables du XVème et ses croix de procession, attend une rénovation bien méritée.

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