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lieux sacrés

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29 avril 2007

Les roches de Berthaud

dragon_112aCes roches naturelles et imposantes, aux effets de falaises parfois veinées de quartz, n'ont pas manqué d'attirer les cultes anciens.
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dragon_119aSitués sur la veine du dragon des monts du lyonnais, proche du col de Ban, dans la direction opposée au col de la Luère et à Saint-Bonnet le froid, ces arrangements de pierres et les roches naturelles se confondent.
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dragon_081aDes cupules, des bassins apparaissent sur presque tous les sites. Des roches calées de main d'homme tout au long de la visite, ainsi que des pierres en forme de phallus et des portes de vie. Et un petit gardien.
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dragon_120aDes aubépines, du houx, des chênes centenaires et des genets en fleurs, un chemin qui serpente le long du dos du dragon... Belle promenade en perspective.


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Je vous conseille, si vous voulez en savoir plus sur cette région, le livre "la voie des pierres" de Jean-Louis Augay, aux éditions Mosaïque.

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29 avril 2007

Saint Désiré

Saint_D_sir___7_aParoisse de l'ancien diocèse de Bourges. On croit pouvoir identifier le lieu de Saint-Désiré avec celui de Salviacus, où s'élevait primitivement une chapelle dédiée à Saint Martial. Le nom actuel du lieu aurait été donné par la suite en l'honneur de l'évêque de Bourges, Désiré, qui serait mort à Salviacus au milieu du VIème siècle.








Saint_D_sir__aVers 1055, Archambault de Bourbon, son frère Aymon, archevêque de Bourges et Ebbes de Déols, fondèrent un prieuré à Saint Désiré et le placèrent sous la dépendance de l'abbaye de Saint-Michel de la Cluse, en Savoie.

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L'église haute

Saint_D_sir___2_aElle est l'oeuvre de trois campagnes de construction, d'époque romane. De la première moitié du XIIème siècle, la nef et les bas-côtés. A la seconde campagne, une partie des piles de la croisée ainsi que le choeur et l'abside, qui ont subi des transformations fin XIIème.

Saint_D_sir___4_aEnfin, à la fin du XIIème, on remania le transept en employant du grès houiller de teinte rouge. L'édifice fut restauré de 1866 à 1878, et l'on éleva un clocher, refit les voûtes de la nef et la façade.

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L'abside

Saint_D_sir___6_aElle est garnie de cinq arcades aveugles en plein cintre, ornées par des colonnettes que séparent de larges pilastres.





 



Saint_D_sir___8_aLes bases, ornées de tores ou de bâtons brisés, reposent à 1m20 du niveau du sol sur un filetgarni de billettes.

Les chapiteaux portent des palmettes, des têtes rudimentaires et sont surmontés de tailloirs. Sous les trois arcades centrales sont percées des fenêtres en plein cintre.

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Le choeur

Saint_D_sir___28_aIl communique avec l'abside, très élevée, par deux escaliers latéraux entre lesquels se dresse un mur vertical réunissant les deux niveaux du sol et percé en son centre d'une large baie donnant vue sur la crypte. Un berceau en plein cintre le couvre. Chaque mur latéral est renforcé de trois hautes arcades aveugles.

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La crypte

Saint_D_sir___37_aElle mesure 4 m sur 2,80 m. Elle est divisée dans le sens de la longueur en trois travées de plan rectangulaire, séparées per deux rangées de trois arcades en plein cintre, retombant sur des colonnes trapues, monolithiques. Saint_D_sir___20_a
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Saint_D_sir___40_aLa travée centrale est plus large et plus profonde que les autres. Toutes trois sont voûtées en un berceau dont la naissance est marquée par un cordon chanfreiné. Un simple tailloir adouci d'un cavet couronne chaque colonne. Une étroite fenêtre percée dans le mur oriental de la travée centrale éclaire cette crypte, que l'on peut dater du XIème siècle. Les chapelles latérales, bâties à une époque plus tardivedans la pérode romane, ont des murs de blocage irrégulier. leur sol est légèrement surélevé vers l'est.





Saint_D_sir___36_aLes pignons des croisillons du transept se dressent au-dessus des toitures, de même que le pignon de la travée droite du choeur. Le choeur compte deux absidioles. Chaque croisillon en possède également une. La nef compte trois travées et des collatéraux voûtés en berceau. La croisée du transept est couverte d'une haute coupole sur pendentifs. Les croisillons du transept sont voûtés en berceau brisés. Les deux travées sont divisées par un arc doubleau extradossé d'un arc diaphragme percé d'une fenêtre.

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Le transept

Saint_D_sir___25_aLa croisée du transept, reprise dans la seconde moitié du XIIème siècle, est couverte d'une coupole sur pendentifs, système que nous retrouvons à Domérat.

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Saint_D_sir___52_aLes arcs ouvrant sur les bras sont brisés et à deux rangées de claveaux. Le croisillon nord est muni dans la partie basse de son mur occidental de trois arcades aveugles.

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La nef

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La reprise de construction entre le transept et la nef est visible sur les piles occidentales de la croisée. La nef est couverte d'un berceau en plein cintre sur doubleaux, refait à l'époque moderne en remplacement d'une charpente lancée au XVIème siècle après l'écroulement de la voûte primitive. Elle est dépourvue d'éclairage direct. La travée orientale est plus longue que les autres.














Saint_D_sir___62_aOn trouve à côté du bénitier, un ancien puits sur lequel on a posé un couvercle de bois. Je n'ai pas pu aller voir si l'eau était toujours au fond.

Ce sanctuaire est vraiment accueillant, je m'y suis sentie bien immédiatement. La crypte est toujours baignée dans une énergie douce, mais puissante.

Une vraie petite merveille.

29 avril 2007

La chapelle Sainte-Agathe

Sainte_Agathe_aNon loin de Saint-Désiré, sur un promontoire où arrive un chemin de croix, se trouve la chapelle Sainte-Agathe. Lieu de pélerinage, elle conserve des parties romanes.
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Sainte_Agathe__4_aElle comprend une nef, terminée par une petite abside et deux absidioles. un clocher carré domine la façade. De là-haut, un paysage grandiose s'offre à nos yeux.
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Sainte_Agathe__1_aEt la gardienne est toujours là...

28 avril 2007

L'église Saint-Saturnin de Rocles

Rocles_aA la fin du IIIème siècle, d’après M.Bougerolle instituteur à Rocles, Saint-Saturnin (ou Saint-Sornin) introduisit la religion chrétienne dans cette région. La commune voisine porte d’ailleurs son nom (Saint-Sornin) et  l’église de Rocles lui est consacrée (sous son autre nom : Saint-Saturnin). Ce saint venait de Toulouse où l’on retrouve l’église Saint-Sernin. Deux autres prêcheurs avaient également sillonné la contrée. II s'agissait de Saint-Ourse ou Saint-Ursin, venu de Bourges et Saint -Austremoine arrivé de Clermont.





Rocles__1_aC'est vers 1150 que fut construite l'église ; mais de ce premier édifice de style roman, il ne subsiste que l'abside en hémicycle (flanquée au Nord d'une très petite absidiole de même tracé), et le mur de façade. Ces deux parties sont réunies par une nef entièrement reconstruite au XVème siècle, en style gothique, et qui comporte quatre travées.
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Rocles__7_bLa paroisse de Rocles appartenait autrefois au diocèse de Bourges. L'église Saint-Saturnin dépendait alors du monastère du Montet. C'est un monument de style gothique, à l'exception du choeur, de l'absidiole nord et du portail ouest. Elle comporte une nef principale de 3 travées, flanquée au sud d'un bas-côté de 4 travées.

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Rocles__2_aLes éléments les plus remarquables de l'architecture sont le clocher, assis sur la travée droite de l'abside, avec une base romane quadrangulaire surmontée d'une flèche gothique en pierre de plan octogonal, et surtout le portail ouest : de style roman bourguignon, il est entouré d'une archivolte en plein cintre aux voussures garnies de damiers, d'oves de palmettes et de billettes, et que reçoivent de chaque coté, trois colonnettes en délit à chapiteaux d'entrelacs.












Rocles__5_aLe tympan, supporté par deux colonnettes appareillées dressées contre les piédroits, est découpé en festons. 

















Rocles__9_aA l'intérieur, l'absidiole nord conserve la statue sur bois de la Vierge. Assise comme les vierges à l'enfant de l'époque romane, elle appartient pourtant au style et à l'époque gothique.
















Rocles__10_aElle fut trouvée par "hasard" entre les deux guerres dans les combles de l'église où elle avait été cachée pendant la révolution. Haute de 78cm, elle tient dans sa main droite un fleuron. C'est une statue de transition.
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Rocles__6_aOn trouve aussi un grand bénitier de pierre, en forme de chapiteau (seconde moitié du XIIème siècle) décoré de rinceaux végétaux.

http://rocles03.free.fr/tourisme/pag_eglise.htm

28 avril 2007

L'église Saint-maurice de Vicq

Vicq__glise_aVicq dérive de « vicus » désignant un centre gallo-romain d’administration locale. La paroisse de Vicq appartenait autrefois au diocèse de Clermont. Le prieuré était, à l'origine, la propriété des bénédictins de Menat, puis de l'abbaye Saint-Leger d'Ebreuil.

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Vicq__4_aL'église Saint-Maurice est située sur les bases d'un ancien sanctuaire chrétien, ayant laissé trois couches de sépultures mérovingiennes et carolingiennes, datées du Vème et du VIIIème siècle.
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Vicq_abEdifice roman, elle est comosée d'une nef de trois travées, flanquée de bas-côtés, et d'un transept saillant, sur les bras duquel s'ouvrent des absidioles en hémicycle et une abside de même plan, précédée d'une travée droite. L'absidiole nord  est remplacée au XVIème siècle par une chapelle de plan rectangulaire qui sert actuellement de sacrtistie.
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Vicq__6_aLes culs-de-four de l'abside et de l'absidiole sud, ainsi que la croisée d'ogives du choeur, datent du XIIIème siècle. La porte en plein cintre ouvre sur un auvent de bois du XIIème siècle.
















VicqLe clocher aujourd'hui tronqué fut construit au début du XIVème. Sa restauration est en cours et consistera à remplacer les éléments défectueux de sa charpente. La couverture de l'appentis sommital de la flèche sera réalisé en plomb... (argh...). Les façades seront consolidées avec changement des pierres en mauvais état et rejointement des parements.

Une crypte remarquable du Xème ou XIème siècle renfermait les reliques de saint Mesmin.



http://www.valdesioule.com/fr/communes/commune.asp?code_commune=19

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27 avril 2007

L'église Saint Barthélémy et Saint Gènes de Chapeau

ChapeauaC'est un petit édifice roman du XIIème siècle à nef unique sans bas côtés.










Chapeau__2_bLe portail à tympan moderne s'ouvre dans un avant-corps de maçonnerie surmonté d'un glacis et entouré de deux voussures retombant sur des colonnettes en délit.

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Chapeau__4_aL'ensemble du site (église, château et parc) est classé.

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27 avril 2007

L'église Sainte Radegonde de Cognat-Lyonne

Cognat__1_aL'église Sainte Radegonde de Cognat-Lyonne a été construite au XIIème siècle. Elle en a conservé son clocher octogonal, ses hauts pignons auvergnats à l'avant du transept et son chevet trifolié. C'est le seul vestige du village, qui fut détruit pendant les guerres de religions opposant catholiques et protestants.

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Dans le mur du coté gauche du porche, au niveau du sol, une pierre de remploi facilement repérable. Et quelques signes lapidaires...


 

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Cognat__9_aSur le sommet de la butte, un mémorial raconte la bataille, avec un peu d'humour : "C'est en hiver que s'entretuèrent les catholiques et les protestants, sur cette colline, le 6 Janvier 1568. L'armée protestante fut victorieuse, mais son chef, le capitaine Poncenat, fut tué par erreur par ses propres troupes, le soir après la bataille"...







Cognat__4_aUn bénitier est encastré à l'extérieur. Pour les abblutions ?

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27 avril 2007

L'église Saint-Pierre de Châteloy

Chateloy__10_aCette église du XIIème siècle, construite sur un promontoire dominant l'Aumance, est pourvue de larges contreforts. Les chapiteaux sont ornés de feuillages, d'oiseaux ou d'écailles. Les peintures murales de l'abside datent du XIIIème siècle et ont fait l'objet de réparations au XVème. L'église présente des modillons, des sculptures et une porte à pinacle. La porte principale est en bois sculpté du XVIème siècle.

Occupé depuis la préhistoire, le site de Châteloy  a été lieu de culte druidique, avant l'implantation de la cité gallo-romaine de Cordes. Si le nom de Châteloy remonte à l'appellation latine "Castellum Oculi", à traduire par 'Castel sur l'Oeil", il convient de préciser que ce n'est plus l'Oeil, mais l'Aumance qui coule maintenant à ses pieds. Le changement de dénomination provient d'une erreur du cartographe Cassini.

Chateloy__9_aDéjà éprouvée par la grande invasion de 257, la ville de Cordes fut détruite par les Wisigoths en 475. Délaissée quelque temps, la localité subsiste au moyen-âge et reprend de l'importance comme paroisse chrétienne d'abord et comme siège d'un prieuré par la suite.









Chateloy__8_aL'actuelle église romane a été précédée au début de notre ère par un temple païen, auquel ont succédé une église primitive, où saint Principin a accompli un miracle, et une chapelle carolingienne. Dédiée à Saint-Pierre, elle a été construite au XIIème siècle. Elle fut consacrée en 1170, comme en témoigne une date gravée dans le choeur. A l'origine église d'un Prieuré, elle dépendait de l'Abbaye Royale de Saint-Cyran en Brenne, diocèse de Bourges. Rattachée au XIIIème siècle au chapitre collégial de Hérisson, elle resta l'église paroissiale de cette ville jusqu'en 1725, époque où, pour des raisons de commodité, fut élevée à Hérisson même l'ancienne église Notre-Dame, détruite lors de la construction de l'église paroissiale actuelle .








Chateloy__6_aVendue à la Révolution comme Bien National , l'église fut acquise par Jean Gilberton le 26 Germinal, an 7. Son fils en fit don à la commune de Hérisson , le 23 novembre 1852. Le 22 janvier 1909, elle fut classée Monument Historique.

Les parties les plus anciennes de l'édifice sont à rechercher dans le mur ouest qui clôt la nef : certains fragments du parement de pierre proviennent probablement d'une chapelle pré-romane. Cependant, l'essentiel de la construction s'est effectué, en deux campagnes, au XIIème siècle. La chapelle des Villelume et les arcs-boutants appartiennent au style gothique tardif et furent édifiés au XVIème siècle. La flèche du clocher dans sa forme actuelle date du XIXème siècle.







Chateloy__5_aAvant d'emprunter le couloir conduisant vers l'église, on passe à côté d'un couvercle de sarcophage, orné d'une longue croix, taillée en bas-relief.

http://herisson.planet-allier.com/eglise/eglise.htm

26 avril 2007

Vierge de Coulandon

Coulandon_vierge_aVers l’an 1000, l’évêque de Clermont, Etienne II, demande à son orfèvre Aleaume de réaliser une statue de Vierge à l’Enfant, destinée à recevoir des reliques, dont l’âme de bois est recouverte d’or et de pierres précieuses.
Cette majesté servit de modèle à une importante production destinée à présenter aux fidèles une image intemporelle de la Mère de Dieu et du Sauveur. La Vierge est assise sur un trône, la tête droite, et de face. Elle est vêtue d’une longue tunique et d’un manteau à larges manches. Le voile sur la tête laisse voir ses cheveux au niveau du front. Les drapés des statues les plus anciennes offrent des plis concentriques mais deviennent plus plat en avançant dans le temps. La Vierge tient l’enfant assis sur ses genoux, il bénit de la main droite et tient le Nouveau Testament de la main gauche.
La Vierge en Majesté de Coulandon est une ronde-bosse en bois marouflé (recouvert de tissu) polychrome de 77 cm de hauteur. Elle provient de l’église paroissiale de Coulandon, a été sauvée du bûcher révolutionnaire et conservée par la famille Aumaître qui l’offrit à l’abbé Joseph Clément avant 1910 ; elle fait partie du dépôt d’art sacré de l’évêché de Moulins.
La statue fut présentée en décembre 1904 à l’exposition internationale mariale de Rome pour l’étude de la permanence et de l’imitation des types à travers les âges.
La Vierge est assise sur son trône et présente l'enfant couronné sans le tenir. Elle est vêtue d’une tunique et d’une cape aux plis peu marqués, caractéristiques des représentations du XIIIème siècle ; elle est coiffée d’un voile qui épouse son crâne et laisse à peine voir ses cheveux châtains coiffés d’une raie médiane. Son visage est éclairée par ses immenses yeux bleus, son air serein a perdu la sévérité des Vierges des XIème et IXIème.

http://www.ville-souvigny.com/SouvignyII/Souvigny/Tourisme/Musee/Vierges.html
http://www.culture.gouv.fr/public/mistral/merimee_fr?ACTION=CHERCHER&FIELD_98=LOCA&VALUE_98=%20Coulandon&DOM=Tous&REL_SPECIFIC=1

26 avril 2007

Eglise Saint-Martin de Coulandon

CoulandonaLa partie orientale de l'église date du XIème siècle début XIIème siècle.












Coulandon__1_aEn avant du pignon de façade, un porche de plan rectangulaire fut élevé au XVème siècle, appelé dans la région caquetoire (lieu où l'on bavarde).
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Coulandon__20_aLe clocher carré, de plan barlong, du XVIIème siècle, élevé sur le chœur, a été couronné d'une toiture en pavillon exécutée en 1608, suivant l'inscription gravée sur le coq faîtier. Selon la tradition, il possédait une flèche en pierre démolie à la Révolution, ainsi que la majeure partie de sa base. L'étage de beffroi a été remonté à partir de quelques assises de soubassement.

Deux vitraux du XIIIème siècle représentent un évêque mitré, tenant une crosse et bénissant : il s'agit vraisemblablement de saint Martin.










Coulandon__2_bL'église possède un transept et une abside de la fin du XIIème siècle, ainsi qu'une nef unique, de quatre travées, couverte par une voûte en berceau avec arcs doubleaux.
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Coulandon__10_aL'abside en hémicycle est précédée d'un chœur dont les parties droites étaient terminées par deux absidioles démolies en 1871. Il a encore  deux petites travées, avec bas-côtés, fermées par des berceaux en plein cintre.
Une bulle de 1152 mentionne l'église comme dépendant du prieuré de Souvigny.


Coulandon_vierge_aCoulandon possédait une nierge noire, qui se trouve actuellement à Moulins. En bois polychrome, elle est haute de 77 cm et a été apportée au grand séminaire. (voir ici)

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