Etude géobiologique
Cette église se situe donc sur un site sacré immémorial. Rien d'étonnant à celà : nous y retrouvons le croisement de plusieurs réseaux telluriques, dont un d'un métal rare, et de cheminées cosmo-telluriques. A celà s'ajoute la présence d'un réseau sacré, celui des Saint-André, la reliant au Mont-Blanc que l'on aperçoit les jours de beau temps.
Un autre réseau la relie à l'église de Mornant. Plusieurs failles se retrouvent sous l'église, ainsi qu'une rivière souterraine artificielle se joignant aux naturelles. Le jourdain se retrouve après la pierre d'abaissement, et n'est pas indiqué par les piliers comme on le voit souvent.
Tout ce beau monde nous est indiqué par les pierres noires se trouvant à l'intérieur et à l'extérieur du bâtiment. Le point le plus élevé se trouve devant l'autel. La porte d'entrée primitive est décentrée afin de se trouver sur le réseau sacré des Saint-André.
Il semblerait que le lieu de culte primitif se soit situé en amont de l'église, sur le sommet de la montagne d'Agny, (colline Saint-Vincent qui se dénommait "Dagninus") là où se trouve actuellement la table d'orientation.
En contrebas, après avoir passé la porte de vie composée d'un menhir (masculin) et d'un dolmen (féminin), nous nous retrouverions dans la partie "térapeuthique" du lieu. L'église en fait partie, ainsi que les pierres à cupules.
L'une d'entre-elles profite des énergies telluriques (croisement de plusieurs réseaux) et soulage les pelerins fatigués. Radical pour le mal de dos. D'ailleurs, les arbres répondent aux courants.