Oia
A l'extrémité Nord de l'île, le village d'Oia est construit sur le rebord de falaises vertigineuses (150 à 300 m haut). Jusqu'à la Seconde Guerre Mondiale, il était le grand centre économique.
Il est composé d'élégantes bâtisses à deux étages aux façades ocres et blanches, et aussi un grand nombre d'habitats traditionnels, en partie troglodytiques, aux formes arrondies éclatantes de blancheur ou bien encore vivement colorées.
Et surtout un nombre incalculable de chapelles aux coupoles bleues.
La rue principale, piétonnière, est pavée de marbre. Elle traverse tout le village et longe la falaise jusqu'aux ruines d'un vieux château fort vénitien.
Oia est même réputé pour son coucher de soleil. Il attire tous les jours des centaines de touristes qui se massent sur les parapets et applaudissent à l'instant magique.
Les deux églises orthodoxes principales se trouvent l'une sur la place centrale, l'autre non loin.
Fermées toutes les deux, j'ai pu quand même visiter une chapelle dédiée à saint Michel.