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17 octobre 2007

La chapelle Saint Félix de Montségur sur Lauzon

Monts_gur_sur_Lauzon_1Cette chapelle du diocèsede Saint-Paul-trois-châteaux a été construite au pied du rocher portant le château, à l'intérieur de l'enceinte fortifiée du village.
















Monts_gur_sur_Lauzon_3Elle était desservie par les religieux du prieuré de Saint Amand, dépendance de l'abbaye de Cluny depuis le milieu du X ème siècle.

L'abside et la nef centrale datent du XII ème siècle.









Monts_gur_sur_Lauzon_2L'église fut agrandie au XVII ème siècle, par la création de deux grands arcs ouvrant sur une chapelle étroite au nord et sur une nef latérale au sud.
















Monts_gur_sur_Lauzon_5Des sépultures rupestres creusées dans le roc sont visibles au fond de la nef, quand l'église est ouverte bien entendu...

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Commentaires
W
à connaître à faire connaître toute son histoire
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C
Je me souviens avoir pu visiter cette église il y a une 15ène d'années et dans l'église à la place de l'autel les archéologues avaient mis à jour une pierre sacrificielle druidique. <br /> <br /> Ce lieu dégage une énergie chargée mais apaisée car un hermite a séjourné dans les ruines du chateau et ses prières ont sans doutes adoucis les esprits. Le chateau abrite d'autre légendes, ou histoires qui sait:<br /> <br /> Au XVIe siècle, le triste et célèbre baron des Adrets avait fixé son repaire dans le château de Montségur... La rumeur prétendait que, certaines nuits, des gémissements montaient des souterrains... A en croire la légende, le baron des Adrets avait surtout le pouvoir satanique de disparaître mystérieusement dans son château pour échapper à ses ennemies... Jamais il ne fut fait prisonnier à Montségur... et pour cause, il connaissait lui aussi la mystérieuse cachette dans la muraille...par contre nombre de ses ennemis ou sujet on fini dans des oubliettes. J'ai pu lire un article de journal ou l'hermite qui avait vécu là expliquait que la colline du chateau était truffée de cavernes qui avaient certainement servi au sinistre baron.<br /> <br /> Durant l'été 1750, le jeune vicomte de Rabasteins visite avec des amis le château abandonné de Montségur. Les visiteurs remarquent sur une esplanade une croix de granit portant une inscription sur son socle : Lucie de Pracontal, 25 juin 1715. Le gardien des lieux leur explique que cette jeune personne était la fille unique du marquis de Pracontal, propriétaire du château au début du XVIII° siècle. Or, le 25 juin 1715, au château de Montségur, Lucie disparaît mystérieusement peu après la célébration de ses noces... (Voici la première énigme). Quelques mois après, hantée par la douleur et le désespoir, la famille de Pracontal quitte définitivement le château... le laissant à l'abandon et à la seule surveillance de son gardien. Mais revenons en 1750 : après les explications du gardien, la visite des lieux et un pique-nique dans la cour du château, le jeune vicomte de Rabasteins et ses amis, surpris par un orage, se réfugient dans le château... Le vicomte en profite alors pour fouiller un peu plus le château... et, à son tour, il disparaît mystérieusement... (Seconde énigme). Les recherches de ses amis restent vaines... jusqu'à ce qu'ils aperçoivent un chat avec autour du cou le mouchoir du vicomte de Rabasteins... C'est en observant le va-et-vient du chat que les chercheurs découvrent alors l'entrée dissimulée d'un soupirail... Ils s'arment de pics et de pioches pour démolir la muraille. Après une journée d'efforts, ils descendent dans un caveau souterrain, si profond que les cris du vicomte ne pouvaient parvenir à la surface... Le vicomte est bien là... ainsi que le squelette d'une femme assise dans un fauteuil... elle est vêtue des lambeaux d'une robe de mariée... C'est Lucie de Pracontal... Tout s'explique : c'est en jouant à cache-cache que, par mégarde, Lucie a activé le complexe mécanisme de roues et de contrepoids qui servait à ouvrir la muraille et à dissimuler une pièce secrète... puis le piège s'est refermé sur elle... C'est en butant sur une dalle disjointe par le temps que le jeune vicomte de Rabasteins a senti le mur se dérober sous la pression de ses doigts... subissant à son tour le même emprisonnement que Lucie... C'est grâce à la présence et à la curiosité d'un chat qui connaissait le parcours reliant l'unique soupirail de la cellule à la surface que le vicomte a pu prévenir ses amis... il faut faire appel à l'histoire des précédents propriétaires du château... Voilà comment un chat a permis de sauver une vie
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